Che bella cosa e' na jurnata 'e sole.
.
Sujet déjà traité, il y a bien des années, revenir aux grands classiques ne peut nuire si l'on y revient que de loin en loin.
Voici le lien vers une photo postée le 31 août 2011 sur ce blog : Lien ici
Je profite donc de ce clin d’œil numériquement trafiqué pour célébrer ici la photo qui a eut et a toujours le plus de succès. J'ai reçu avec le temps plusieurs demandes d'internaute pour l'utiliser à des fins non commerciales, ne doutant pas que l'on ne me demandera jamais l'autorisation si la fin est de se faire de l'argent avec.
J'ai à chaque fois donné aimablement l'autorisation, qui pour une rapport ou une étude, qui pour une illustration d'un site web, moyennant un lien vers ma page dans les crédits.
La seule fois où j'ai de signaler, fût pour une page Facebook dédiée à Versailles, qui bien que non lucrative, mais fort visitée (groupe privé auquel je participais, désormais défunt), utilisait comme icône de leur site ma photo sans que le crédit ne m'en soit attribué. Malgré ma demande aimable, la photo fût enlevée sans autre forme d'échange de même que mon message fût supprimé illico avant que je ne fusse banni du groupe, prouvant pas là même que certains "animateurs" n'ont pas la même idée de la propriété que d'autres et sont d'une susceptibilité digne du film de Patrice Leconte...
.
Voici la photo originale non "clindoeillisée"
Grille royale au soleil matinal d'une journée d'automne.
Versailles -- Septembre 2020.
.
.
Post Postscriptum. Cet article fait suite à un échange constructif avec un ami photographe, déçu il y a quelques jours d'une photo publiée sur ce blog. Non, vous ne m'arracherez jamais l'aveu de "laquelle est-ce" car j'aime et j'assume toutes mes photos et mes choix bien que si vous me le demandiez poliment ou si vous me montriez les instruments, j'avouerai tout de même. En résumé de la déception remontée, il m'expliquait que le public voulait du Versailles, du grand siècle, du brillant, du clinquant, des ors et des oripeaux de royauté resplendissants en lieu et place de photos suggestives, masquant plus qu'elles ne montrent mais aussi, du texte, des jeux de mots pour lui pourris mais qui ,sans l'indigner l'indignent parfois, ainsi que des poèmes de mon cru ou d'auteurs moins connus mais qui un jour bénéficieront de ma lumière, de digressions taquines aux longueurs proposées improbables, grammaticalement impropres mais propres aux quiproquos non proposés par Proust, Prudhomme ou par ailleurs, d'allitérations altérées alternant l'attirant et l'atterrant, de commentaires intraduisibles et imperméables à la mode d'une anglophile paupérisant l'esprit (Allez traduire cette diatribe ?), de tout et de rien enfin.
Merci.
.
commenter cet article …