Le 23 décembre 2022, dans un article intitulé "Au revoir le soleil" (Lien), un lecteur de ce blog, photographe amateur de son état et sujet de certaines de mes photos lors de nos visites communes du domaine, me faisait remarqué qu'à ne pas choisir ni renoncé, la photo était, à ses yeux, un mauvais compromis entre un premier plan noir mais pas complétement.
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Voici la photo concernée : 
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Il m'a proposé avec son argumentaire, des images retouchées via SMS (bonjour la qualité, bonjour l'import pour voir quoi que ce soit sur mon smartphone de bien faible qualité) mettant en exergue une position intéressante.

Le premier plan doit-il-être totalement noir et ne proposer qu'une silhouette, ou, moyennant l'usage d'un  logiciel adapté, proposer un dégradé de couleurs qui permettraient d'en distinguer les couleurs sombres que mon appareil photo a capturé mais que nos écrans ne restituent que partiellement.

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Il est vrai que les smartphones trafiquent les couleurs et rendent d'autant plus visibles les nuances et d'autorité, en mode automatique, modifient allégrement la balance des blancs même sans usage de filtre.

Il est vrai également qu'à regarder de près ma photo, effectivement, le soleil dessine sur la statue des reflets et des contours sans qu'ils soient très affirmés.

Il est encore plus vrai qu'un photographe un peu moins fainéant que moi aurait pris le soin de regarder finement le cliché (et tous les autres) afin d'en sublimer les détails.

Vous vous doutez qu'à publier chaque jour un article, le temps me manque mais est-ce une raison ?

Non.
Je remercie ce lecteur qui devrait se reconnaitre (et pas que sur certaines photos) de son oeil et de ses propositions.
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Personnellement, je suis un adepte des premiers plans noirs.

Aussi, voici la photo, cette fois-ci révisée et plus en adéquation avec mes choix artistiques : 


  

La différence est ténue sur un aperçu rapide mais réelle.
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Si je reviens sur la photo du jour, voici un quasi équivalent de la photo proposée fin décembre mais en format portrait. Prise dans la foulée, elle bénéficie d'un retouche de taille.  La suppression d'un anneau de Newton (les tâches qui apparaissent dans les ciels à cause d'une poussière sur le capteur ou sur l'objectif), raison pour laquelle je n'avais pas proposé cette version.

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Et sur les noirs, retouchée, pas retouchée, sur quel périmètre ?
A vos écrans de smartphone ou de PC et faites-vous un avis.

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Parterre d'eau.

Versailles -- Novembre 2022.

L’île des morts (Die Toteninsel) est une série de cinq tableaux peints entre 1880 et 1886 par Arnold Böcklin.

Association d'idée quand j'ai vu cette parure près du corps.

Et vous.

Quelle inspiration ?

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Bosquet des marronniers.

Versailles -- Décembre 20212

N'est pas la chute dans le grand canal.

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...mais de devoir fuir sous les assauts d'un indigène furieux que l'on viole ainsi impunément son espace vital.

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Merci à mon ami photographe entomologiste et piafophile amateur de me pardonner l'usage de ces deux photographies n'ayant pour but que d'illustrer les risques que je prends moi-même pour vous offrir le meilleur cadrage sans équipement de professionnel (perches, drones, pieds, chambres photographiques, assistants, objectifs de malade, boitiers aux prix astronomique, connaissance techniques de haut vol, autorisations spéciales....)

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Au bord du grand canal.

Versailles -- Décembre 2022.

J’écrivais hier au sujet des joggeurs utilisant un oxer provisoire pour s'entrainer au 3000 mètres steeple.

Que nenni.

Un long ruban d'herbe fraîchement semée préfigure les futurs parcours qui seront employés.

Ce ruban est présent sur une vaste zone entre l’étoile royale, l'allée des paons et l'allée royale, sur l'ensemble de la zone sud du grand canal.

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Versailles -- Décembre 2022.

Espace privilégié pour prendre le soleil en toute saison.

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Bassin du fer à cheval.

Transept nord du grand canal.

Versailles -- Décembre 2022.